Avec Internet, elle a retrouvé sa voix et sa voie. Julie Owono dont la parole et les droits ne comptaient pas, selon elle, dans la société française a fini par trouver dans le blogging, le moyen d’attirer la lumière sur ses convictions. Et depuis, elle a créé Internet sans frontières pour que d’autres Africaines puissent en faire de même dans l’écosystème du numérique. L’engagement de la jeune avocate camerounaise l’a conduite finalement aux Etats-Unis où elle siège depuis 04 ans comme membre inaugural du nouveau Conseil de surveillance de Facebook qui fonctionne telle une Cour suprême où se prennent les décisions majeures sur la modération de contenu sur la plateforme de réseaux sociaux.
Qui sera l’élu (e) pour le Siège de vice-président INTERPOL pour l’Afrique ?